MICOINE
Jean Roger
Naissance : 29 novembre 1912 à Sotteville-lès-Rouen 76300 177 rue de Paris 93, rue Capomère est un autre domicileDécès : 28 février 1934 à Caen 14000 hôpital Inhumation : 5 mars 1934 à Saint-Léon-sur-L'Isle 24110 cimetière communal transport du corps d'abord à Saint Astier
Père : MICOINE Victor ( 1887 - 1967 )
MICOINE Jean Roger
MICOINE Victor
MICOINE Jean
DOCHE Elisabeth
Ouvrier Boulanger
Naissance : 1 juillet 1875 à Neuvic-sur-L'Isle 24190 Village de Magnou Officier d'Etat Civil ROUGIÉ. Témoins OZARD Pierre 57 ans, DEFFARGES Jean 46 ans tous deux cultivateurs à Magnou
Je n'ai pas beaucoup de références, même orales sur lui.En vie : 1900 à Izon 33450 Il y travaille comme ouvrier boulanger et fait la connassance de Marie VergnolDécès :
Père : MICOINE Jean ( 1848 - 1922 )
Mère : DOCHE Elisabeth ( 1852 - 1912 )
Union : VERGNOL Marie ( 1877 - 1968 )
Mariage : 1 septembre 1900 à Izon 33450 Elle s'est peut être remariée avec Jean Simon à St Loubès en 1909.
Enfant :
MICOINE Jean, Delphin
MICOINE Jean
MICOINE Jean
RAULNET Marguerite
DOCHE Elisabeth
DOCHE Jean
VERNINAS Marguerite
MICOINE
Jeanne
sans profession
Naissance : 17 février 1813 à Sourzac 24400 Est sur état civil née MICOYNE décèdée MICOINE
photo faite de l'acte.Décès : 21 juillet 1884 à Sourzac 24400 Village de La gravette
Père : MICOYNE Nicolas ( 1775 - 1840 )
Mère : THOMAS Margueritte ( 1789 - 1864 )
Union : LIMOUZI Jean ( (e) 1805 - ? )
Mariage : 23 novembre 1830 à Sourzac 24400
MICOINE Jeanne
MICOYNE Nicolas
MICOYNE Jean
GISSE Jeane
THOMAS Margueritte
THOMAS DIT DREILLE Jean
PENOT Catherine Jeanne
Boulanger
Naissance : 23 novembre 1890 à Neuvic-sur-L'Isle 24190 Village des Roudiers Acte N° 46Décès : 5 juin 1968 à Sourzac 24400 Village de La gravette Sa boutique était au bord de la nationale et marquée sur le pignon à l'ouest de son nom. De plus on m'a dit qu'il n'était pas commode parfois.
Père : MICOINE Jean ( 1852 - 1939 )
Mère : FRANC Jeanne ( 1855 - 1925 )
Union : ASTARY Berthe ( 1890 - 1968 )
Mariage : 12 mai 1914 à Beauronne 24400
MICOINE Léo
MICOINE Jean
MICOINE Jean
RAULNET Marguerite
FRANC Jeanne
cultivateur
Naissance : 23 novembre 1880 à Neuvic-sur-L'Isle 24190 village du But Il est peu vraisemblable qu'il porte le prénom d'Antoine. Mon père disait qu'Antoine était célibataire et se laissait entraîner à la boisson. Il ne s'est marié qu'à l'âge de 46 ans. Seulement il l'appelait l'oncle Antoine et il est son cousin.
Acte N°53 Du vingt trois Novembre Mil huit Cent quatre vingt à une heure du soir.
Acte de naissance de Léonard MICOINE enfant de sexe masculin, né ce jour à six heures du matin, au But commune de Neuvic des époux Jean Micoine et Jeanne Franc cultivateurs, domiciliés au dit village du But Sur la déclaration faite par ledit Jean Micoine , âgé de vingt cinq ans qui nous a présenté l'enfant.
Témoins Jean Roufret âgé de vingt huit ans tisserand et Etienne Urbain Deffarges âgé de trente sept ans employé de la mairie domicilié au bourg de Neuvic Constaté suivant la loi, par nous soussigné maire remplissant la fonction d'officier de l'état civil de la commune de Neuvic canton de Neuvic arrondissement de Ribérac, département de la Dordogne.
Le comparant et les témoins ont aussi signé le présent acte après lecture faite.
Notation marginale : 7 avril 1926 inscrit à la mairie de Neuvic acte de mariage avec Decoly Angèle le greffier 8/04/1926En vie : avant 1926 à Neuvic-sur-L'Isle 24190 Les Roudiers Il ne quitte sa mère qu'au décès de celle ci (Ce qui explique son mariage tardif)Décès : 14 janvier 1940 à Neuvic-sur-L'Isle 24190 Les Roudiers Guerre de 14 :
Père : MICOINE Jean ( 1852 - 1939 )
Mère : FRANC Jeanne ( 1855 - 1925 )
Union : DÉCOLY Angèle ( 1894 - ? )
Contrat de mariage : 1926 à Mussidan 24400 Notaire Maître Gassien Propriété au village des Roudiers cadastrée aujoud'hui BH 60 au nom de RACHET HenriMariage : 7 avril 1926 à Neuvic-sur-L'Isle 24190 Léonard s'est marié à 46 ans environ
MICOINE Léonard
MICOINE Jean
MICOINE Jean
RAULNET Marguerite
FRANC Jeanne
MICOINE
Louis
cultivateur propriétaire
Naissance : septembre 1816 à Sourzac 24400 Il est l'oncle de Louis PAULIN qui naîtra le 13/06/1856, frère de Bernard qui aurait un an de plus.
Père : MICOYNE Pierre ( 1778 - 1856 )
Mère : SUSSAC Jeanne ( 1780 - 1820 )
MICOINE Louis
MICOYNE Pierre
MICOYNE Jean
GISSE Jeane
SUSSAC Jeanne
MICOINE
Lucien dit qu'il s'est donné un surnom :
"Troupo la mort", vers l'âge de 70 ans, après plusieurs accidents.
Forgeron d'industrie
Naissance : 14 août 1883 à Neuvic-sur-L'Isle 24190 village de Magnou Commentaires : entre 1944 à Liorac-sur-Louyre 24520 Il s'achète un Solex vers 1950. C'est avec cet engin qu'il fait 'une virée' à Neuvic chez sa petite cousine Marguerite Rachet aux Roudiers de Neuvic. Il a en 1951 un accident avec une poule qui le fait chuter : Epaule cassée.
Il tombe vers l'âge de 70 ans dans une sablière de la forêt de Liorac, sans être enseveli : côtes brisées
Enfin il essaye de tenter le diable, sans succès en taillant l'If de sa cour en Boule vers 75 ans. C'est à ce moment qu'il est photographié perché sur un grand escabeau.Il expédie la photo à son frère Victor et marque au dos : Troupo la mort (ce qui veut dire trompe-la-mort).
Il me souvient aussique mon oncle avait planté dans un massif de fleurs, et taillé du buis formant un texte lisible de la route. Ce texte disait en patois TU ES YOU ce qui veut dire Toi c'est Moi. Voilà l'exemple même de la pensée profonde, humaniste, presque philosophique du monde paysan auquel mon oncle se rattachait encore.
Réflexion sur l'ambiguïté de la langue, l'humour... Un rêve de fraternité universelle....
J'ai séjourné chez mon oncle de août 1944 à Pâques 1945 et dans le courant de l'été 1952 pour deux mois. C'est chez lui que j'ai été un petit périgordin. J'ai fréquenté l'école, j'ai gardé les oies, tiré la queue du cochon j'ai fait chabrol avec la piquette et cherché des " boutareaux " les cèpes dans la forêt de Liorac. Je garde, avec nostalgie les rudiments de patois que j'ai prononcé. A l'époque les gens ne parlaient entre eux qu'en patoisDécès : 9 décembre 1966 à Montpon-Menestrol 24700 hôpital Mon père est à son chevet. Lucien ne peut plus parler mais serre très fort la main de son frère Victor et il décède peu après.Inhumation : 10 décembre 1966 à Bergerac 24100 Peut être le cimetière de la Madeleine C'est Maurice qui s'est occupé de l'inhumation.Acquisition : à Boulogne-Billancourt 9292100 Billancourt Hôtel pension de famille pour ouvriers de chez Renault où mon oncle travaille (Marteaux pilons) dans l'époque 14-18 source photo héritée.
Demeure au 26 quai de Billancourt (Carte Postale) Source photographiée chez Marie France GUERRIER le 29/06/2001
Au dos de cette carte un courrier à Lucinde, dit que c'est le domicile de Billancourt au 26 quai de Billancourt. Peut être est elle louée, car l'homme est au front et de ce fait la maison est entretenue ?Résidence : Profession :
Il a habité au Pin de Grune Villa Bonnamy à La Seyne sur mer. Pas de date mais sa mère est déjà très malade. Il est très possible que ce soit 1911. Il travaillera ensuite chez Renault à Billancourt (jusqu'à quelle date ?)
Entre les deux guerres et pendant la seconde, il travaillera à la poudrerie de Bergerac comme forgeron.
A la retraite il reprendra du service comme professeur de forge à Bergerac. Il expose avec ses élèves en 1953 à la foire de Bergerac.Baptême : à Neuvic-sur-L'Isle 24190
Père : MICOINE Jean ( 1848 - 1922 )
Mère : DOCHE Elisabeth ( 1852 - 1912 )
Union : CHAUSSADE Marie Amanda ( 1886 - 1950 )
Mariage : 10 janvier 1908 à Liorac-sur-Louyre 24520
MICOINE Lucien
MICOINE Jean
MICOINE Jean
RAULNET Marguerite
DOCHE Elisabeth
DOCHE Jean
VERNINAS Marguerite
MICOINE
Marguerite
cultivatrice fermière
Naissance :
Père : MICOYNE Bernard ( 1815 - ? )
Union : PAULIN Jules ( ~ 1822 - ? )
Enfants :
MICOINE Marguerite
MICOYNE Bernard
MICOYNE Pierre
SUSSAC Jeanne
tenancière
Naissance : 22 décembre 1879 à Neuvic-sur-L'Isle 24190 village de Magnou En vie : entre 1954 et 1966 A 75 ans elle repeint à cinq mètres de hauteur, avec une échelle, la face arrière de son pavillon.
Elle élève des lapins et des pigeons.
A 87 ans elle est encore alerte et montre des jambes de jeune fille. A minuit elle discute encore avec nous. Elle était surnommée par son frère Victor "La raidouillchoux".Décès : 12 juillet 1972 à Bordeaux 33000 Bastide Profession : à Bordeaux 33000 La Bastide Elle commence par être serveuse et économise pour s'acheter un commerce débit de boissons sur les quinconces. Elle couche sous le comptoir et ouvre dès quatre heures du matin pour le jus des matelots et des dokers. Elle tient un restaurant rue Sainte Catherine et le met en gérance à la fin de la deuxième guerre. Elle prend une épicerie, rue hortense à LaBastide.Baptême : à Neuvic-sur-L'Isle 24190
Père : MICOINE Jean ( 1848 - 1922 )
Mère : DOCHE Elisabeth ( 1852 - 1912 )
Union : JEANNEAU Terouanne ( ? - ? )
Mariage : 22 avril 1902 à Bordeaux 33000
MICOINE Marguerite
MICOINE Jean
MICOINE Jean
RAULNET Marguerite
DOCHE Elisabeth
DOCHE Jean
VERNINAS Marguerite
Patissier, Cuisinier, représentant
Naissance : 21 septembre 1885 à Neuvic-sur-L'Isle 24190 village de Magnou La signature du père évolue et "fatigue".Profession : entre 1900 et 1970 à Bergerac 24100 Hôtel de France A l'hôtel de France, il fait son apprentissage de pâtissier voir ci-avant
Puis il est le cuisinier du baron de Nexon (Haute Vienne)
Après son mariage il est patron du Grand Bazar 'Maison universelle' de Nérac. Ce local sera loué après le divorce, pour un bail qui ne peut être réévalué à une société administrant le groupe CODEC.
Puis il est Conserveur: Pendant la guerre il est à Villeneuve et achète les légumes à quatre heures du matin pour l'usine de conserves. Petits pois et haricots vert . Plus tard 1952, il est à Cancon chez Lalaurie. Tomates entières, en purée, concentré, Cèpes à l'huile têtes, Jambes et morceaux.Il est aussi représentant en spiritueux Armagnac Chapoulie pendant le reste de l'année.
Enfin il est appelé comme Expert conserveur. Il va au Maroc (CASABLANCA le 19/04/1949) en Bretagne à Rosporden.Divers compléments : entre 1930 et 1960 Il a une voiture Rosengart noire puis une traction avant Citröen bleu ciel métallisé. Ce n'est pas sa dernière "Traction", elle seranoire et immatriculée 688 DU 47.
Il a un chien appelé Zoom, genre Saint Bernard. Ce chien veille jalousement sur le petit de la meute (moi, qui dort dans un hamac). Gare à celui qui approche.
Ma mère Erika et moi arrivons à Villeneuve en 1940. J'ai trois semaines.
Mon oncle apprend les gestes de cuisine professionelle à ma mère pendant cette période, l'exode.
Il assiste aux jeux olympiques de Milan. Pour l'année ce ne doit pas être difficile à trouver (vers 1950).
En 1952, j'étais en vacances chez mon oncle Lucien. Maurice me prend quelques jours avec lui et me fais visiter du pays. Villeneuve, Cancon, ou je mange à la table de son patron un canard à l'orange et des têtes de cèpes avec une persillade, issus des conserves de sa production chez les Lalaurie.Décorations : 23 décembre 1957 à Agen 47000 Caserne Maurice MICOINE a été nommé Chevalier de la Légion d'Honneur pa décret du 23 décembre 1957 en qualité de "soldat de deuxième classe recrutement Bergerac Infanterie", pour avoir sauvé le drapeau de son régiment le 209ème d'Infanterie à la barbe des allemands le 26 sept 1914 aux "Paillotes" secteur de Perthes en Champagne.
La cérémonie de remise des insignes de CHEVALLIER a eu lieu le trois avril 1958 devant le front des troupes à AGEN par le Colonnel PATE, commandant l'annexe d'AGEN de l'Ecole d'Application des Transmissions et le C. I T 48. Le procès verbal de réception d'un membre de la légion d'honneur est daté du même jour.
Il a été parrainé il me semble par le ministre Yvon DELBOS (Education Nationale- Affaires Etrangères), qui le connaissait de longue date.
Voir les sources pour le PV référencé 2278 MR 58 photocopie avec courrier du 22/08/2001 en réponse à ma demandedu 21 février 2001.
Il est bien sûr déjà depuis longtemps titulaire de la croix de guerre (Verdun 1916) et médaillé militaire.
Son fait d'armes figure aussi sur un livret en vers : Epopée en vers du 209ème régiment d'infanterie pendant la grande guerre.
Ultérieurement, dans le civil, il sera titulaire de la médaille du mérite agricole, pour son travail de conserveur en France et à l'étranger. Vu sur carte de visite détenue par Serge MAZUROK (ex époux de Marie France GUERRIER.
Commentaire: Pour avoir la légion d'honneur, il faut être parrainé. Je crois avoir entendu dans la bouche de mon oncle parler du ministre précité comme de son ami.
Mon oncle a eu aussi le privilège d'être invité à la table de Joséphine Baker en son château des Milandes. Je n'ai plus le souvenir de la date.Décès : 23 décembre 1972 à Villeneuve sur Lot 47300 Villa des érables chemin des pavillons Le voisinage en l'absence de sa fille en profite pour le piller: Il était en possession du gaufrier (mentionné dans le contrat de mariage de sa grand mère Raulnet. Une erreur du greffier fait décèder mon Oncle à Neuvic ! Il s'est fait inhumer avec ses parents à Bergerac cimetière catholique de la Madeleine. Il a été l'acquéreur en 1926 de la demi concession pour ensevelir dignement ses parents. Il l'a fait avec les consorts frères et sœurs le 4/11/1926. Document : Concession cimetière photocopie certifiée.
Père : MICOINE Jean ( 1848 - 1922 )
Mère : DOCHE Elisabeth ( 1852 - 1912 )
Union : COLL Antoinette ( ? - ? )
Mariage : avant mai 1917 à Nérac 47600 domicile Divorce : avant 1939
MICOINE Maurice
MICOINE Jean
MICOINE Jean
RAULNET Marguerite
DOCHE Elisabeth
DOCHE Jean
VERNINAS Marguerite
